Au bord de l'eau... ( Jacque/Yse )

C'était un matin comme tout les autres. Avec un ciel bleu comme il en existe lorsque le soleil brille. Il faisait plutôt chaud et dans mon petit appartement ,l'air devenait assez lourd. Au lieu de rester enfermé dans cette prison de chaleur, je décida d'aller faire un tour dans la région. Ainsi j'en apprendrais peut être plus sur cette fameuse légende.
Je pris mon sac ou je mis un peu d'argent et une bouteille d'eau puis je partie de mon domicile en refermant bien derrière moi.
Je traversa la zone résidentiel. Les logements semblaient ne pas être encore tous réveillé ,ce qui n'était pas très étonnant vu qu'il n'était encore que 9h30 et que l'on était samedi.
Je marcha sans trop savoir ou j'allais et c'est ainsi que je suis tombée sur ce lieu. Un endroit calme et apaisant. Pas une seule personne en vue. Ce lac pourtant, est un lieu que beaucoup de personne recherche lors des grandes chaleurs comme celle-ci. Mais là, pas un chat. Certainement l'heure comme je le disais auparavant.  
Pourquoi me plaindre alors que j'ai ce lieu rien que pour moi.

Je m'avança alors vers la rive. Je me pencha pour voir de plus prés l'eau. Mon visage se refléta alors sur la surface transparente. Ma mine blanchâtre ondula sur l'eau telle un fantôme. Un brise de vent me caressa la peau et fit s'envoler ma chevelure neige.
Tout cela semblait irréaliste. Le lieu donnait une impression d'utopie.
Je m'assis alors par terre les yeux fixé vers l'autre coté du lac ou se tenait une forêt dense. Ce lieu m'intriguait et me faisait pensé au conte familiale. Je ferma les yeux pour me rappeler de ces légendes toute plus farfelue les une que les autres mais... si je ne croyais pas aux contes de mes ancêtre croyez-vous vraiment que je serais venue ici ?
Non bien sur, les histoires Grimm sont romancé mais le contenu et là!
Donc oui pour moi les histoires écrite par la famille sont vrai tout autant que cette légende... et je suis venu la voir de mes propres yeux!

10h- Toujours personne, pourtant j'entendais les tumultes de la villes derrière moi. Ce lieu allait surement garder son calme pendant toute cette belle journée.
Les genoux croisé et les bras tenant mes jambes, ainsi installé je pouvais rester ici un bon moment sans me lasser. Mais tout cela était sans conter sur l'arriver de pas derrière moi. Quelqu'un approcher de ce lieu...mais qui ?
Je resta la sans faire attention à la personne qui s'avançait dans mon dos trop absorber a contempler la rive voisine.

Jacques detailla la jeune fille face à elle. Sa pâleur éteint celle d'une poupée de porcelaine. La jeune fille étira un petit sourire. Celle qui lui faisait face, malgré son teint ne semblait pas être ''une poupée de porcelaine''. En effet, une poupée de porcelaine ne se présenterait pas à la face du monde avec les cheveux en bataille, comme l'était la chevelure de neige de sa camarade.
Elle lui faisait effet d'un fantôme. Tien et si c'était le fantôme du lac? L'androgyne secoua doucement la tête, s'enleva cette drôle d'idée de la tête. Un fantôme n'aurais pas de pied, et ne répondrais sur ce ton sec comme elle le fit.

- Non non pas dutout …

Jacques leva un sourcil. Si la jeune fille n'avait pas souris (brièvement certes mais souris quand même) , elle aurait pensé que la jeune fille voulait juste être polie. D'ailleurs elle se leva. Miss Jones remonta la bretelle de son sac sur son épaule, avant de déclarais, s'inclina légèrement comme voulait son éducation pour se présentait. Certes son éducation elle ne l'utilisait pas souvent. Elle était impulsive et très naturelle, trop parfois elle avait souvent du mal à se tenir "correctement''.

C'est gentil. Je m'appelle Jacques. Jacques Jones et toi ?

Elle sourit à son tour, puis posa son sac. Elle s'étira machinalement avant de se mettre en mode ''inquisition" comme disait son meilleur ami.

Ça fait longtemps que tu vis là ? T'as quel âge ?

Elle sourit à la jeune femme. Elle ne semblait pas plus vieille qu'elle, et sachant qu'elle connaissait tout les gens de son âge du moins de vue, comme la plupart des habitants, elle en avait déduis que la jeune femme n'était pas du coin. Puis une telle chevelure blanche passait aussi inaperçu que Jacques dans ses jours de mauvaise humeur.

La jeune fille répondit à Jacques, qui sourit. Elle était certes un peu sèche, mais elle lui répondait. Et  ça suffisait pour faire naitre un sourire aux lèvres de la jeune androgyne. Mais la jeune fille, non Yse corrigea Jacques mentalement, semblait ne pas savoir quoi faire. Elle s’inclina. Elle répondit même une seconde fois.

j'ai 17 ans et je viens a peine d'arriver … toi en tout cas tu sembles bien connaître les lieux non ?

Jacques hocha de la tête. Elle aimait bien le Lac. Cette surface lisse, clair, les arbres autours. Coupé du monde mais pourtant si proche de la civilisation. Elle se souvenait d’un baisée volée à ta Darling, la sœur de ton meilleur ami. Une blague entre vous. Qui vous a permis de gouter, une seule et une unique fois, aux lèvres  que vous vous étiez inconsciemment interdit, malgré votre désir.Un sourire, un fou-rire, des joue rosies et pas par la chaleur.
La jeune fille regardait autour d’elle à la recherche d’une trace de ses souvenirs. Malheuresement les seuls traces sont les photos dans son album photo ainsi que dans sa tête. Elle se reconcentra sur la jeune fille.

- En effet, je suis là depuis la naissance. Mais je connais pas tout les lieu comme ma poche. Seulement la ville

Elle eut un léger rire.

- Sinon toi tu viens d’où ? Et que viens-tu faire dans notre petite ville ?

Contrairement ce qu’on pouvait penser en vue des questions, la jeune androgyne n’était ni  agressive, ni interrogative. Elle était restée légère, et normale. Intérieurement elle connaissait la réponse, l’éternité. Comme souvent cette stupide légende était la source d’autant d’étranger dans une ville sans intérêt réelle. Mais Jacques était une personne positive, e voulait voir quel excuse avait la jeune fille. Et la croirait, simplement.

Spoiler:

Jacques regardais le lac, tout en attendant les réponses de la jeune fille fasse à elle. La clarté de l’eau, la pureté de celle-ci, associer au rayon de soleil rendait l’endroit magnifique. Un lieu paisible, de douce solitude, celle qu’on cherche. Celle qu’on a besoin pour réfléchir et se reposer.
C’était un des lieux que Jacques évitait le plus. C’était sûrement inconscient, un réflexe dicter par son instinct. Après tout c’était « là » qu’apparaissait l’étrange jeune fille, qui était l’objet de la légende de Tsukino.

- Je viens d'Hanau une ville Allemande. Je ne sais pas si tu connais ? Je suis venu ici pour étudier et ainsi suivre la voie familiale. Je pense qu'il y a tout ce qu'il faut ici pour ça !

Cette simple phrase titilla la curiosité de la jeune fille, qui fixa ses prunelles orangée dans celle d’émeraude de la jeune femme répondit calmement à la question de la jeune fille.

- En effet je ne connais pas Hanau…. Je suis de toute façon une bouse en géographie.

Un rire franc, gentillet secoua la jeune fille. Oui elle haïssait cordialement la géographie paradoxalement, elle avait un excellent sens de l’orientation. Mais là n’était pas la question Jacques avait mille et une question en tête à poser à la jeune fille mais pas le temps de toute les poser. Alors la jeune fille prend le temps de les trier, de les formuler. Une chose qui lui pris du temps, mais paradoxalement qu’elle fit rapidement.

- Je vois… Et si ce n’est pas indiscret, quesqui est cette voie familiale ? Et qu’es qui te fait penser que notre bonne vieille ville de Tsukino possède les éléments pour cette fameuse voie ?